Je me suis motivé par l’essentiel après avoir reçu la formation aux Zimbabwe. Ce que j’appelle l’essentiel sont la spiritualité, la technique, l’impact social. En effet, je suis persuadé que cette technique est un moyen efficace pour apporter un changement significatif à la vie des paysans mais aussi que le pays tout entier en bénéficie, ceci, par le biais de la vulgarisation de cette dernière.
En tout, j’ai déjà formé 43 femmes de la 23 région et 300 paysans et 100 maires de la haute terre après la formation. Ainsi, après avoir formé et pratiqué la méthode Pfumvudza, j’ai la ferme conviction que c’est tout à fait réalisable chez nous.
Il y a de l’espoir pour notre pays. Je suis fier d’être un élément pouvant apporter du changement.